Voyage d'école
Prolog:
Dies ist die französische Übersetzung meiner Geschichte "Die Klassenreise".
Der Übersetzer ist einer unserer Chatter: FritzTheCat.
Ich DANKE ihm!
Voyage d'école
Mes premiers temps au lycée ne font pas partie des meilleurs souvenirs de ma vie.
Déjà à l'école primaire c'était difficile. Mes parents m'avaient propulsée en cours primaire dès l'âge de 5 ans. Il faut dire que j'étais déjà a l'époque une très grande fille, de plus je m'étais donné de la peine au test d'entrée. Mais tous les autres enfants étaient plus vieux, et en tant que cadette j'étais exclue.
Etant plutôt bonne écolière (et mes parents me poussant!), je réussis encore à sauter une classe, et c'est ainsi qu'à l´âge de 15 ans, je fis partie d'un voyage d'école exclusivement entourée de camarades quasiment adultes.
Pour eux, j'étais toujours une paria. Etant beaucoup plus jeune, je n'intéressais personne.
Pour comble du malheur, j'étais amoureuse, et pas qu'un peu!
Il s'appelait Tom, et avait 19 ans. Deux redoublements, un grand gars barbu, très engagé politiquement, intelligent, flemmard, et le héros de tous mes phantasmes de gamine.
Evidemment il n'en savait rien.
Et bien sur, durant les deux semaines de ce voyage, mon Tom adoré se la coulait douce avec toutes les filles de la classe, sauf moi bien sur. Il était impensable que je fasse le premier pas, il ne me voyait tout simplement pas.
Evidemment, je n'avais pas encore acquis le droit d'acheter mes fringues, et j'étai toujours mal fagotée. Tandis que les autres filles, mini-jupes et parfums!
Sur le chemin du retour, assise dans le bus, j'étais perdue dans des idées moroses.
Tom était assis deux rangs devant moi, et jouait aux cartes. Je regardais par la fenêtre pour ignorer ce supplice.
C'est alors que quelque chose se passa...
Une des filles savait que j'étais follement amoureuse de Tom, et ne trouva rien de mieux que d'aller le lui répéter. Il se leva soudain, remonta le couloir vers moi et s'assit sur le siège a côté de moi (Il y avait toujours une place libre à côté de moi).
Mon coeur s'arrêta. Ma respiration devint courte. Le rouge me monta aux joues. J'aurais voulu être morte. Avec toutes les autres filles pour spectatrices!
Mais Tom passa très tranquillement un bras autour de mes épaules, m'attira vers lui et susurra a mon oreille : " Wah, tu aurais du me le dire ! C'est si grave ?". Je ne pus qu'acquiescer de la tête et les larmes commencèrent à rouler sur mes joues. Tom caressait mes hanches et secouait la tête. Puis il dit à la ronde : " Bon maintenant chacun s'occupe de ses affaires, d'accord!?". Il était très ecouté, et les autres arrêtèrent de nous dévisager. Tom fourrageait dans mes cheveux. "Petite tête-de-feu, et moi qui croyais..." Il s'interrompit pour m'embrasser.
Le monde s'écroula.
Nous nous enlacions et caressions comme si c'était la première fois que quelque chose de tel se produisait. ça l'était d'ailleurs de mon point de vue. Le bus s'arrêta sur une aire de repos, nous restâmes assis un moment. Tout le monde se précipita dehors. Finalement, j'osais le lui dire : "Dis, il faut que je sorte un petit moment... je..." Il sourit. "OK, mais je viens avec toi!"
Et c'est ainsi que nous marchâmes bras-dessus bras-dessous vers les toilettes.
Evidemment, celles des dames étaient pourvues d'une queue conséquente : 4 cars plein de filles, chacune prenant le temps de faire son petit besoin!!gasp! J'avais du mal à contrôler mon envie de faire pipi, qui m'avait déjà prise lorsque Tom m'avait abordée dans le bus. Les sensations fortes ont un effet immédiat sur ma vessie. Dépitée, je regardai la foule et croisai les jambes. Quelle torture!
Tom me laissa là le temps d'aller lui-même pisser.
Quand il revint, la queue n'avait pas bougé d'un mètre. Je trépignais sur place.
"Hé, Caro, j'ai une idée! Viens par ici!", dit-il en me tirant derrière vers l'arrière du bâtiment. Arrivé là, il m'adossa au mur et passa ses mains sous ma robe, entre mes jambes. Dee surprise, j'aurais tout lâché! Il insinuait son doigt brûlant toujours plus profondément dans mon intimité. Á travers ma petite culotte de coton, il massait doucement mon clitoris. "Allez viens, laisse-toi aller... personne ne regarde!" me chuchota-t-il à l'oreille. "Ils pensent tous qu'on est en train de baiser!"
Je toussotais. "Je ne peux pas!" dis-je dans un souffle. En même temps je savais que je ne tiendrais plus longtemps! Il continua à me masser, en m'embrassant tout le temps!
La situation me mettait dans tous mes états! Malgré mon urgence, je sentais le plaisir monter en moi! Je sentais, en même temps que ma petite culotte s'humidifiait, que mes seins se tendaient! "Oh, commence-tu déjà à faire pipi ou est-ce que ça te plait tant ?" me susurra-t-il encore. Il passa son autre main sous mon chemisier et caressa ma poitrine. J'essayais encore désespérément de me contrôler, serrant les jambes de plus en plus fort, mais ce fut trop.
Un fluide chaud jaillit, courut le long du doigt de Tom, éclaboussa mes jambes en tombant en torrent. j'entendais un chuitement à travers ma culotte. Le lot tomba sur le sol de pierre et ruissela. Il n'arrêta pas pour autant! Un lac apparaissait entre mes pieds. Tom me dit encore a l'oreille "Oh oui, laisse tout sortir!"
Et pus ce fut fini.
Impuissante, je contemplais le désastre à mes pieds. Mon slip était à essorer. Tom surit :" Eh bien, maintenant enlève ta petite culotte, je surveille les environs! Tu peux être tranquille, personne n'a rien vu de ce qui s'est passé!" Je regardais le Jean de Tom. Une tache sombre se présentait sur le devant, pas très grande mais très visible. Tom remarqua mon regard et souffla :" Tu me rend vraiment fou, petite fille! Quand tu as commencé à pisser, ça m'est venu, je ne pouvais plus rien faire!", tout en me prodiguant son plus beau sourire.
J'enlevais vite ma culotte, que Tom engouffra dans une des poches de sa parka. Je ne l'ai jamais revue.
Puis nous sommes retournés au bus. Le reste du trajet fut comme sur un nuage. Tom et moi piaffions que le bus s'arrête.
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